Invitrogen™ Kit ELISA humain d’adiponectine

Description

Le test ELISA pour adiponectine humaine quantifie l’adiponectine humaine dans le sérum, le plasma ou le milieu de culture cellulaire humain. Le dosage reconnaîtra exclusivement l’adiponectine humaine naturelle et recombinante. Principe de la méthode L’ELISA sandwich en phase solide pour adiponectine humaine (essai immuno-enzymatique) est conçu pour mesurer la quantité de la cible liée entre une paire d’anticorps appariée. Un anticorps spécifique à la cible a été prérevêtu dans les puits de la microplaque fournie. Les échantillons, étalons ou témoins sont ensuite ajoutés à ces puits et se lient à l’anticorps immobilisé (capture). Le sandwich est formé par l’ajout du second anticorps (détecteur), une solution de substrat qui réagit avec le complexe enzyme-anticorps-cible pour produire un signal mesurable. L’intensité de ce produit coloré est directement proportionnelle à la concentration de TP (p) présente dans l’échantillon d’origine. Validation rigoureuse Chaque lot fabriqué de ce kit ELISA voit sa qualité testée pour des critères tels que la sensibilité, la spécificité, la précision et la constance de lot à lot. Consultez le manuel du produit pour plus d’informations concernant la validation.

L’adiponectine est une hormone protéique qui module un certain nombre de processus métaboliques, notamment la régulation du glucose et le catabolisme des acides gras. L’adiponectine est exclusivement sécrétée du tissu adipeux dans la circulation sanguine et est très abondante dans le plasma par rapport à de nombreuses hormones. L’hormone joue un rôle dans la suppression des troubles métaboliques qui peuvent entraîner un diabète de type 2, de l’obésité, de l’athérosclérose et une stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD). L’adiponectine est sécrétée dans le système sanguin où elle représente environ 0,01 % de toutes les protéines plasmatiques. Les concentrations plasmatiques révèlent un dimorphisme sexuel, les femmes ayant des niveaux plus élevés que les hommes. Les niveaux d’adiponectine sont réduits chez les personnes diabétiques par rapport à celles non diabétiques. La réduction du poids augmente considérablement les niveaux de circulation. L’adiponectine s’associe automatiquement à des structures plus grandes. L’adiponectine se lie à un certain nombre de récepteurs. Jusqu’à présent, deux récepteurs ont été identifiés, avec une homologie aux récepteurs couplés des protéines G. L’adiponectine exerce certains de ses effets de réduction de poids via le cerveau. Cet effet est similaire à l’action de la leptine, mais les deux hormones exécutent des actions complémentaires et peuvent avoir des effets additifs. L’adiponectine affecte le flux de glucose (gluconéogenèse, absorption de glucose), le catabolisme lipidique (bêta-oxydation, clairance des triglycérides), le dysfonctionnement endothélial, la sensibilité à l’insuline et la perte de poids. L’administration d’adiponectine reste un domaine de recherche prometteur pour la thérapie clinique des maladies telles que l’obésité, le diabète de type 2 et la stéatose hépatique.

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